Je lis « Les gens dans l’enveloppe » de Isabelle Monnin et je n’aime pas la deuxième moitié, je suis lassé, j’ai du mal à le finir.
J’écoute le ronronnement du chauffage et ça m’épuise. Au moins, je n’ai pas froid.
Je mange santé et j’ai des envies d’Häagen-Dazs.
Je travaille. J’ai cumulé beaucoup de retard. Je me stress mais ça va aller. Je pense.
J’espère que le prix du baril va doubler pour qu’on en finisse avec cette crise.
Je rêve de coudre mes vêtements.
Je décide de marcher plus depuis que j’ai cette stupide app qui comptabilise chaque jour le nombre de mes pas.
Je me demande si je vais réussir à finir cet article.
Je me souviens lorsque j’ai eu mon brevet, puis mon bac, puis mon BTS puis mon Master et la joie des mes parents à chaque fois.
Je pense souvent à ma famille, à la France, à mon passé, à moi avant.
J’ai du mal à perdre ces quelques kilos.
J’essaie d’oublier, de ne pas faire attention.
Je porte encore mon pyjamas, c’est férié et c’est le pied.
Je devrais prendre soin de mes cheveux.
J’aime lorsque la météo annonce des températures au dessus de zéro.
Je veux partir loin.
Merci à I feel blue pour cet idée d’article.